Le retour de la coque
Jamais, mais alors JAMAIS je n'aurais pensé parler à nouveau de ce truc-là dans cette vie.
Un port de coque par vie, ça me semblait largement suffisant pour me moquer de moi-même jusqu'à la fin des temps.
Ma dernière coque datait du collège, elle marchait avec mes créoles fluo. A l'époque je portais une sorte de carré bien bouffant (because une masse capillaire légèrement mega abondante) que j'avais eu la bonne idée de doper avec une permanente dont les années 80 avaient le secret. Si vous avez un chouïa d'imagination ça donne moi équipée d'une coupe au carré semi-afro avec une bonne grosse coque bien bien (mais bien hein) fixée avec une tonne de laque bien bien (mais bien hein) collante.
Maintenant que vous avez imaginé le pire (et la réalité allait au-delà de vos délires les plus fous, si si!), revenons à notre coque so 2009/2010.
Déjà, quand on tente une coque en 2009, on a les mains bien moites d'angoisse, tellement on sait jusqu'à quel point ça peut déraper. Limite on choppe des tics nerveux au moment de séparer la mèche qui formera la fameuse coque.
Et puis on se détend et on se rend compte que les années n'apportent pas uniquement leur lot de rides et de merdouilles en tout genres, mais aussi une certaine maîtrise de la mèche rebelle. On maîtrise les volumes, on maîtrise la mèche rebelle, on maîtrise la coque, c'est la win!
Photos faites dans le cadre d'un projet avec La Redoute, que vous pouvez voir ici!
Mais je me suis coiffée toute seule, y'a pas de triche, promis.
Pour le mode d'emploi, c'est simple :
1 - on sépare la mèche à coquer.
2 - on rassemble le reste de la chevelure en chignon vite fait.
3 - on crèpe la mèche qui reste,on la plaque sur le reste et on fixe avec 2-3 invisibles.
4 - on laque, UN PEU!
Photos : www.jamesbort.com
Bonne journée!!!