HISTOIRES DE...
Je ne porte pas de parfum en général, je n'arrive pas à les supporter, je les fais virer, et je n'en ai jamais trouvé un qui me corresponde vraiment. Je préfère l'odeur de mon shampooing (caramel) et de mon conditionner (fraise), de la gamme Bed Head de Tigi tous les deux. Le mélange peut paraitre un peu particulier mais le tout donne l'odeur de mes cheveux, elle-même mêlée à celle de l'huile prodigieuse de Nuxe dont je m'enduis consciencieusement tout le corps 365 jours par an. Donc je sens le bubble gum, en gros, mais très légèrement, je dois bien être la seule à m'en rendre compte. Point de sillage capiteux ou de mémoire olfactive de ma présence.
ça c'était jusqu'à ce que l'on m'offre deux parfums presque coup sur coup. Je ne parlerai que d'un seul aujourd'hui : le 1969, une des 12 senteurs de la collection Histoires de Parfums, toutes plus riches et belles les unes que les autres.
La petite histoire liée à mon nouveau parfum raconte : "La sensualité charnelle d’un voluptueux bouquet d’épices. Dans le sillage de cet oriental gourmand, le mystère se teinte d’un érotisme que la mythique année 1969 évoque sans rougir." Elle est belle, cette histoire, en tout cas moi elle me plait.
Ce que je trouve un peu dingue c'est que la personne qui m'a envoyé ce parfum ne me connaissait pas (et c'est une fille, commencez pas!...), mais elle m'a offert mon parfum, celui qui me va, me plait, est totalement moi. D'ailleurs, pour l'anecdote, une copine m'est tombée dessus samedi dernier avec un "mais c'est QUOI ce truc, cette odeur, je veux, je VEUX"! (Voila Denise, maintenant tu sais;)
Et mon autre nouveau parfum? Ce sera pour la prochaine fois...